Juste
pour le clin d’œil, je vous laisse les premiers paragraphes du
compte-rendu que j’ai rédigé en arrivant à Bajos en fin de journée, avec
les inconvénients que cela comporte ;-)
Je corrigerai ensuite le reste pour plus de lisibilité !
« Bon, finalement j'ai trouve un point internet au village de Bajos ( en fait, dans un bar, epicerie et tutti quanti! ), a defaut de wifi!
Mais bien sur avec l’habituel foutu clavier qwerty qui me rappelle de nombreuses vacances a l’etranger avec ses lettres mal placees et ses ponctuations introuvables, smiley rigolo.
Donc je ne vais pas m’enerver longtemps dessus, smiley clin d'oeil.
Le compte-rendu :
Mais bien sur avec l’habituel foutu clavier qwerty qui me rappelle de nombreuses vacances a l’etranger avec ses lettres mal placees et ses ponctuations introuvables, smiley rigolo.
Donc je ne vais pas m’enerver longtemps dessus, smiley clin d'oeil.
Le compte-rendu :
Apres avoir profite pendant environ trois heures de mon forfait aux Springs près de La Fortuna, sous une petite bruine cette fois,
j’ai pris la route en direction Bajos del Toro »
j’ai pris la route en direction Bajos del Toro »
Mon steak a bon goût mais il est quand même très difficile à couper ( beaucoup de nerfs ) et comme toujours, les accompagnements sont hyper basiques, donc je ne suis pas franchement enchantée de mon repas,
et je serai très étonnée plus tard en voyant les super commentaires sur TripAdvisor. En plus, la serveuse qui s’occupait de ma table n’était franchement pas souriante, contrairement à l’autre, on va dire que je n’aurai pas eu de chance sur ce coup-là…
Je profite que je suis dans une ville pour acheter ( à prix d'or! ) des antihistaminiques, car non seulement j'ai épuisé le stock de ceux achetés en France, mais en plus, de toute façon, ils n'étaient pas efficaces. J'espère que ceux-ci marcheront mieux!
Je repars vite vers cette campagne bien verte et bien opulente, qui me plaît tant avec ses vaches grasses, ses plantations de papayers, ses
bananiers aux régimes emballés de plastiques…
La route s’est déroulée
sous quelques averses alternant avec des éclaircies, et
plus j’avançais plus je montais en altitude : Bajos est à 1350m d'altitude !
J’y suis presque, je
vois des panneaux annonçant mon point de chute : la fameuse « Catarata
del Toro » ( je vous traduis ? Cascade du Taureau ! )
Je suis accueillie chaleureusement par le propriétaire, un Néerlandais marié à une Tica.
Je fais partie de
trois privilégiés à mon logement : la fameuse Cascade du Taureau est
fermée le dimanche mais les deux gars et moi, qui logeons sur place, y
avons accès gratuitement :-)))
Ne pas se tromper en repartant! ;-)
Étant arrivée à 16h30, ça ne me laissait pas le temps, oh, c'est ballot ;-), de descendre les watt mille marches ( 300, je crois :-/ ) pour aller la contempler du bas, car l’aller-retour prend plus d’une heure!
Mais il faisait bien assez jour pour que je fasse le tour du joli jardin juste à côté du resto du site, d’où on a une vue splendide sur la très haute cascade :-)))
Il y avait aussi des dizaines de colibris qui s’agitaient dans le jardin, c’était magnifique à voir, mais hyper difficile à photographier, ils bougent vraiment trop tout le temps, et même en vol stationnaire les ailes battent trop vite pour que l’appareil puisse faire la mise au point, d'autant plus que, dans les arbres, il commençait à faire sombre...
Mais je me suis régalée
à les admirer en train de butiner les fleurs et boire l’eau sucrée mise
à leur disposition. Je suis enchantée de voir en vrai ce spectacle
fascinant que je n’avais jusqu'à présent vu qu'à la télé!
Si vous voulez voir de superbes photos des colibris de ce coin, allez dans la section "hummingbirds" du site-web de la cascade!
Je m’installe dans ma chambre
rustique qui, finalement, me plaît bien, avec ses murs en bois et sa
vue sur la jungle, et en plus, j’ai droit à une douche électrique,
certes, mais plus en version GiBi que costaricaine, avec réglage de la
température, un vrai luxe ;-)
Je redescends pour dîner.
Je suis d’abord déçue que le proprio nous ait installés à des tables séparées ( et qu’il ne mange pas avec nous ), mais bien vite, après nous avoir servis, il revient et nous discutons tous les quatre à bâtons rompus pendant un bon moment après le repas, même si je regrette de louper de temps en temps un peu de la conversation en anglais ( les gars sont italien et anglais )… Excellente soirée, et bon verre de vin espagnol, que j’ai d’autant plus savouré que c’était la fin de la bouteille : le milanais en aurait bien voulu aussi, mais il n’y en avait plus ;-p
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