Il me reste une corde à mon arc dans
le coin : le « concessionnaire » ( j'ai des doutes, maintenant,
sur le terme à employer ! ) du patelin à 3 km de là. Comme il
n'y a pas d'adresse précise, je guette qq chose qui ressemblerait à
un magasin de motos. J'ai des doutes sur un commerce, rien ne laisse
voir quoique ce soit comme motos, mais je crois reconnaître le mot
moto en grec sur le petit panneau... En tous cas, c'est fermé !
Je hèle un peu plus loin des jeunes sur un scooter, celui à
l'arrière pourrait passer pour un apprenti moto. Le jeune de devant
me montre effectivement son copain du doigt qd je demande une
« moto-shop », et me montre ensuite le magasin que je
soupçonnais, mais hélas il conclut par un « closed until
five » Argghhll, ça n'ouvre qu'à 17h ( Christina, ma coloc du ferry, m'avait
prévenue du risque ! ) et il est 15h10 ! Il m'explique que
c'est partout comme ça. Donc comme mon pneu a encore l'air d'être
« dur » ( en tapant de la botte dedans, méthode très
scientifique ;-) ), je prends le risque d'aller jusqu'à ma 3ème
adresse, à Ioannina. Je prends même un double risque en décidant
de conserver mon Road-Book initial par la route verte E92, car elle
est plus longue ( en km et en tps ! ) et plus « « désertique » » que
l'autoroute. Mais deux avantages : je fais le RB que je voulais
;-) et je n'arriverai pas trop en avance à Ioannina, ce qui aurait
été le cas par l'autoroute.
Je profite d'une station service pour
vérifier ma pression : il en manque un peu, je complète et
mets mm 2,8kg ( le gars avait regonflé à 2,5 ). Petite boutique à
côté, comme il fait tjs une chaleur à crever, j'achète deux
petites bouteilles d'eau ( 1€, ça va ), j'en bois une direct et je
range l'autre.
Je repars. A cause de la
chaleur-lourdeur, du tps pas très beau ( bcp de nuages jaunâtres,
chape de brume dans les plaines ) et surtout à cause de mon pneu qui
me tracasse, je n'arrive guère à admirer le paysage de montagnes,
un peu trop « aride » à mon goût malgré les forêts
qui recouvrent pas mal de montagnes. Mébon, je fais qd mm qq photos
( mon GPS me donne une arrivée à 17h chez le conc', parfait !
), notamment des mini chapelles ( grosses comme...euh...un
tabouret de bar, par exemple! ) qui jalonnent les routes, soit
pour commémorer une mort sur cette route, soit au contraire pour
remercier le ciel d'avoir évité le pire ( ! ) Le temps
s'améliore petit à petit, coins de ciel bleu et sensation qu'il
fait un peu moins chaud...je commence à prendre du plaisir sur cette
route déserte. Je croise un panneau avec écriture cyrillique jaune
sur fond bleu, que je prends pour le nom d'un patelin ( mm s'il n'y a
pas encore de maisons ;-) ) QQ chose du genre Agya Nayos, je me dit,
ah ouais, le patelin doit s'appeler du nom d'une sainte...
QQ dizaines de mètres plus loin, je
vois un panneau routier complètement différent, écrit en blanc sur
fond bleu : « Slow Icy Road » Arghhhl, nous y voici,
ça doit être à ça que faisait allusion un internaute avec qui
j'ai discuté de la Grèce avant de partir : le verglas
d'été !!! Et en effet, qq mètres après, panneau très
explicite avec une voiture qui dérape et un symbole de pluie !
Ouf, heureusement que la route est sèche, me dis-je... au moment où
qq gouttes me tombent dessus :-///
Heureusement, ça ne dure pas et la
route reste sèche !
Je vois de l'autre côté de la route
un vaste parking ( gravillonné of course ! ), et en face une
montagne dont la forme me fait dire qu'il y a sûrement le méandre
d'une rivière à son pied. Donc je traverse la chaussée et me gare
prudemment. Je m'approche du point de vue : déception :
c'est juste une route qui longe le pied...ah mais non, pas
seulement ! En m'approchant encore, je vois finalement la
rivière et son méandre :o))
Autre petite pause photo pour une stèle
en hommage aux femmes paysannes. Mon GPS m'annonçant maintenant une
heure d'arrivée à 17h15, je ne fais plus d'arrêts !
Un peu avant d'arriver à Ioannina (
dans la banlieue ), je vois à nouveau un réparateur de pneus, avec
qq petites motos garées devant. Je retente le coup. Le jeune me dit
qu'ils ne peuvent pas réparer par l'intérieur, seulement faire ce
que j'ai fait avec mes mèches, donc ça n'est pas la peine. Au
moins, il est honnête et sympathique, et parle anglais ! En
plus, en me montrant son petit « supermotard » Honda, il
me dit que si je veux, il peut m'emmener chez un conc' moto ( celui
chez lequel il va lui-mm ! ), mais qu'il faudra que je
patiente : il n'ouvre qu'à 18h !!! Comme il m'explique que
ce sont les horaires normaux des conc', et que ce sera pareil au
centre-ville, comme j'ai déjà depuis lgtps décidé, contrainte et
forcée, que je zappais la visite de la vieille-ville ( la citadelle,
au bord du lac ) pour aller au plus vite à Mondendri qd mon problème
de pneu serait résolu, autant que j'aille à celui-là, qui est plus
proche de ma destination...
Je suis donc ce fou du guidon qui, pour
m'impressionner ou parce que c'est son habitude de rouler comme ça (
je pencherais plutôt pour la 2ème option ! ), mets gros gaz et
dérape plein de fois de la roue arrière ! Je le suis à un
rythme moins soutenu, il m'attend donc régulièrement ;-) Il finit
par me montrer le conc' ( le plus « vrai » que j'ai vu
depuis mon arrivée : un garage moto avec les 4 marques
japonaises en gros sur la vitrine ! ) et me conseille d'aller
boire un coup en attendant. Ce que je fais, enchantée de découvrir
que la superbe pâtisserie juste à côté est climatisée !
Seulement 4 fauteuils en vis-à-vis à l'intérieur, mais je ne me
gêne pas pour les occuper avec mes affaires de moto ! Je
commande un cappuccino décaféiné ( 1,80€ ) en attendant 18h, et
je passe le tps en écrivant un MMS à Xtian pour qu'il vous le
transmette !
A 18h, je vais chez le conc', qui me
dit tout net que non, ils ne réparent pas les pneus, pour des
raisons de sécurité. Je trouverai peut-être des réparateurs de
pneus pour le faire, mais à cette heure-là ( !!!pas de
chance ! ) ils sont tous fermés, il faudrait attendre demain
matin.
Sentant venir la solution finale, je
demande combien me coûterait un pneu ( j'ai eu le tps d'y penser pdt
mon trajet : d'une part mon pneu a qd mm déjà bien vécu (
14600km, avec tous mes km à venir en Grèce, j'aurais dû le changer
dans pas très lgtps ), et d'autre part, vu le trou que j'ai fait
avec mon outil, plus le « sur-trou » qu'à fait le gars
ce matin ( l'air sortait fort quand il a enlevé mes mèches !
), si personne ne veut me faire une réparation de l'intérieur, je
ne serai pas tranquille de toutes les vacances avec un pneu
semi-réparé ! ) Le gars prend tout de suite un air
d'enterrement en me disant : les pneus sont chers, en Grèce !
:-((( Au début, bien qu'il ait l'air sympa, je me demande s'il ne
veut pas truander un peu la nana motarde et étrangère que je suis,
mais en fait, non, il me sort les catalogues de trois
manufacturiers : Bridgestone ( le mien ), Pirelli et Dunlop.
Respectivement, je lis à la ligne de ma taille de pneu : 209€,
206€ et 190€ :-(( Je lui dis qu'en effet, c'est cher, que je
vais essayer de chercher à réparer qq part et que si je ne trouve
pas, je reviens faire monter un Dunlop neuf ( autant prendre le moins
cher, vu comme je roule peinard, ça n'a guère d'importance ). Il le
dit OK, revenez juste maximum à 19h30 car je ferme à 20h.
Je reprends la moto et me dirige vers
le centre-ville de Ioannina. Au bout de 300m, réparateur de pneus :
des jeunes sont assis sur les marches, mais à peine ai-je garé la
moto devant qu'ils me font signe que c'est fermé ! Ca commence
mal ! Et ça continue mal : comme j'ai eu l'impression
d'avoir eu un peu de mal à me garer, je re-vérifie le pneu :
mou, je peux l'enfoncer avec ma pointe de botte :-(( OK, plus
possible de conduire dans ces conditions, je déclare forfait et je
retourne chez le conc' faire mettre un pneu neuf. Comme ils ont déjà
des travaux en cours, je retourne patienter à la pâtisserie du
coin, en habituée ;-/ Comme il est déjà tard, je prévois un dîner
difficile si j'arrive à Monodendri tard, donc je décide de
commencer les restrictions budgétaires pour compenser l'achat du pneu : je prends un friand
jambon-fromage et une petite brique de jus d'orange pour 2,80€, ça
me servira de dîner !
Je reviens récupérer ma Diversion
toute fraichement chaussée ( je l'ai vue en arrivant sans sa roue
arrière ( ils arrivaient pour la remettre ), ça m'a fait très mal
au coeur ! ) pour 190€ + 10€ pour la pause, ce qui est très
raisonnable par rapport au boulot que c'est alors que le gars
d'Igoumenitsa m'a demandé la même somme pour 30 secondes de pose de
mèche qui n'a mm pas tenu une journée !!!
Je remercie, il me demande d'où je
viens et où je vais et son visage s'éclaire d'un grand sourire
heureux quand je lui dis que je vais à Monodendri : « vous
verrez, c'est vraiment très joli, vous avez bien choisi! »
Bon, finalement, je n'ai tjs pas pris ma douche donc là j'y vais
avant de vous raconter la fin de la journée, pas de tout repos non
plus !
***********
Donc je pars tard
du magasin de moto ( vers 19h15 de mémoire ), je fais le plein en
prévision de la zone montagneuse que je vais attaquer ( chance :
je le fais à 1,643€ le litre, le moins cher que j'ai vu jusqu'à
présent ! ) et mon GPS m'annonce une arrivée vers 20h à
Monodendri, donc sûrement plus avec mon allure d'escargot
habituelle !
Le principal
problème c'est que je me dirige clairement vers un méga orage, dont
je vois des éclairs zébrer le ciel très souvent :-/ Donc j'essaie
de me bousculer un peu pour faire la course avec lui. D'habitude je
fais la course pour m'éloigner des orages, là, je n'ai pas le
choix : ma route m'y emmène direct, en plein dedans, j'espère
juste me retrouver dessous le plus tard possible, quand je serai au
plus près de mon logement... Mais soudain, Mme Bonnétoile revient :
ma route bifurque très largement vers la droite et je me
retrouve ( après avoir été pdt plusieurs km sur le flanc d'une
montagne ) dans une autre vallée avec seulement qq nuages bien gris,
OUF, soulagement! Car je n'oublie pas les panneaux de « icy
road » :-/
19h45, luminosité
entre chien et loup, 20h, c'est la nuit, et je ne suis pas encore
arrivée :-/
Mais j'approche,
et mon GPS me dit soudain de tourner à droite. Comme il m'annonce
l'hôtel Vikos à 1,6km, je me dis que c'est la route finale pour
arriver au village, je m'y engage. C'est une route mal pavée et avec
un « chemin central » d'environ 60cm avec des sortes de
mini escaliers pour bien « accrocher » quand ça glisse (
je suppose ? ), bref, un truc infernal à moto, que ce soit sur
cette partie centrale ou sur les pavés tordus de chaque côté :-/ Je continue qd mm,
pas trop le choix ( en fait, si, je me dis que si ça devient pire,
je logerai à Vitsa, un peu plus bas sur la route principale, où
j'ai vu des logements ). Mais à un moment ce chemin pavé très
relativement praticable devient un chemin empierré plein de trous (
et tout ça de nuit ! )! J'arrête la moto et je décide d'aller
en reconnaissance à pieds pour voir si ça s'améliore plus loin...
Ben non :-((
J'entreprends donc
de faire un périlleux ( à mon niveau en tous cas ! ) demi-tour
sur ce chemin pavé en pente, sans voir grand chose de ce que je fais
( pas de lumières à l'exception de mon phare ) Ca me prend un temps
infini parce que j'y vais centimètre par centimètre, mais je finis
par y arriver sans tomber, pas peu fière de moi, mais un peu tremblotante de l'effort fourni ;-)
En bas, au lieu de
repartir à gauche vers Vitsa, comme je vois que la route principale sur
laquelle j'étais continue, je décide de l'emprunter un peu pour
voir ce que me dit mon GPS. Et il recalcule et trouve maintenant mon
hôtel à 2,5km ( au lieu d'1,6km, 900m de + ) ! Je vais donc
peut-être qd mm y arriver, avec un détour !( en fait, par la route principale au lieu d'un raccourci pourri! )
Ben non. J'arrive
dans Monodendri ( j'apprendrai le lendemain que c'est Monodendri
« haut » ! ) mais le GPS veut me refaire prendre une
route pas possible ( en gros, pour retomber sur celle que j'avais
prise et où j'ai fait demi-tour, l'hôtel étant entre ces deux
bouts de mauvaise route, euh, chais pas si chuis claire! ), donc je m'arrête, un peu
désespérée, et je demande à des gens sur une terrasse s'ils
parlent anglais : oui, ouf ! Connaissez-vous l'hôtel
Vikos ? « Oui, il faut prendre cette rue, là... »
« mais elle est impraticable à moto !!! » Et là,
ce qui semble être un hôte ami de la 2ème personne, me dit :
si vous cherchez un logement, je vous conseille celui où je suis (
donc là ), 1ère classe, pas cher ! Comme je n'ai pas réservé
fermement à l'hôtel Vikos, je demande combien ça coûte pour une
chambre single. Le patron hésite, me jauge ( :-/ ), tergiverse... Je
suis épuisée par ma rude journée et mon difficile demi-tour récent et je n'ai pas la patience
de marchander, j'ai une idée pour l'aider à se décider sur le prix
qu'il va me proposer : je lui dit qu'à l'hôtel Vikos, c'est
35€ avec le PDJ, s'il peut me faire le même prix, je viens, il
faut juste me dire oui ou non ! Il sent que je suis un peu énervée
par ses hésitations et a priori, le prix lui va bien, donc il me dit
« OK, OK, c'est pareil pour moi, venez ! Montez juste
votre moto dans la rue derrière, où il y a le parking. Je crains
encore une route pourrie, mais non, c'est la route principale qui
continue après un lacet, je gare enfin ma moto , sur une belle route
goudronnée, délaissant son parking empierré : « is it
forbidden here ? » ( où je me suis arrêtée ) « No,
but... » je le coupe : "so, I'll stay here !" « OK, OK ! » Le gars, jeune ( 25-30 ans ),
est un peu désorienté par mon « autorité » ( dûe à
ma fatigue et à l'envie d'en finir avec cette éprouvante journée
) ;-))
Il m'aide à
porter mes bagages tout en faisant l'article pour sa guest house ( ça
n'est plus la peine, ma décision est prise! ), vous verrez, j'ai de
belles chambres et je vais même vous donner la plus belle... ;-)
L'ensemble de
petites maisons en pierre dont il s'occupe ( guest house LADIA ) est
absolument superbe, complètement dans le style montagnard du coin,
comme tout le reste du village :o)
http://www.tripadvisor.fr/Hotel_Review-g1877770-d2571611-Reviews-Ladias_Guest_House-Monodendri_Ioannina_Region_Epirus.html
http://www.tripadvisor.fr/Hotel_Review-g1877770-d2571611-Reviews-Ladias_Guest_House-Monodendri_Ioannina_Region_Epirus.html
Bon, l'ameublement
de la chambre est légèrement kitsch à mon goût ( dommage, je suis
sûre que pour le même prix ils auraient pu faire du
« rustique-chic » cher à mon cœur, mais ça n'est
peut-être pas le goût de la majorité des touristes ! ), mais
la chambre est grande, il y a une petite mais fonctionnelle salle de
douche, une cheminée, un petit balcon...et en plus, j'ai vu sur la porte d'entrée
qu'ils ont le WiFi donc je suis en fait enchantée du rapport Q/P de
cette chambre, au moins égal à celui de l'hôtel Vikos !
Le gars me dit que
pour le PDJ, c'est la maison d'à côté, et que pour le WiFi, c'est
libre d'accès au nom « hotelladia »
Comme il est un
peu tard, je préfère me jeter sur le WiFi pour voir si ça
fonctionne pour pouvoir aller râler si ça n'est pas le cas ;-)
Et en effet, je ne
trouve pas son « hotelladia » mais juste un autre nom
barbare ( lettres et chiffres ) ; Je le rappelle : il
me dit « bah, c'est peut-être ça, essayez » ( !! )
Je clique dessus mais le signal est trop faible, ça ne veut pas
capter. Il me dit d'essayer près du balcon! Un petit cran misérable,
pas assez pour mon web-mail. Il me dit d'essayer directement sur le balcon ( alors
que l'orage, qui s'est rapproché, menace !! ) !! En effet,
là, il y a deux crans :-/
Je me dis que
c'est mieux que rien et c'est en m'installant entre la porte et le
balcon ( ! ) que je vous écrirai une partie de mon CR, enveloppant
l'ouverture de la porte avec le rideau pour que les moustiques ne
passent pas dans la chambre, attirés par la lumière !!!
Folklorique !
Douche, puis je
descends pour prendre un verre bien mérité au bar-restaurant où je
PDJeunerai le lendemain. Je choisi un tsipouro ( ou qq chose comme
ça ), sorte d'alcool de raisin du coin, proche de la grappa.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Ts%C3%ADpouro
C'est mignon, le barman me le sert dans une petite bouteille genre mignonnette, mais pas « pré-remplie » il verse d'une grande bouteille dans cette petite, et me donne un petit verre avec. Ca me rappelle la Serbie ; j'avais d'ailleurs rapporté des petites bouteilles comme ça de là-bas...
http://fr.wikipedia.org/wiki/Ts%C3%ADpouro
C'est mignon, le barman me le sert dans une petite bouteille genre mignonnette, mais pas « pré-remplie » il verse d'une grande bouteille dans cette petite, et me donne un petit verre avec. Ca me rappelle la Serbie ; j'avais d'ailleurs rapporté des petites bouteilles comme ça de là-bas...
Je demande à
payer, c'est 2,50€, ça va. Mais le barman rajoute « mais je
vais vous donner un petit qq chose à manger avec! » Alors ça
va encore mieux ;-) Et il me sert une sorte de part de tortilla à la
pomme de terre...mais sucrée ! Assez étrange, et j'aurais
préféré une version salée, mais je le mange quand même
volontiers !
Je rentre ensuite
dans mon home, sweet home, acquis de haute lutte ;-)) et m'endors
béatement dans mon lit de 150 ( si je ne me trompe ) :o)))
Voilà la fin de
ma dure journée du lundi 19, rédigée alors qu'il est déjà 17h
mardi, c'est vous dire si j'ai du retard !!
Bon, il pleut tjs
autant à Papigo, mais il va qd mm falloir que je reparte vers
Monodendri !
Guest House Ladia |
Guest House Ladia |
Ce que je ne ferais pas pour capter le WiFi! |
Le fameux tsipouro |
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire