Breakfast à 8h,
comme d’habitude, mais cette fois, je prends sur moi pour demander un service à Bridget, mon hôtesse la plus cordiale du séjour, ça tombe bien, j’ose plus facilement.
comme d’habitude, mais cette fois, je prends sur moi pour demander un service à Bridget, mon hôtesse la plus cordiale du séjour, ça tombe bien, j’ose plus facilement.
Il s’agit bien sûr de
lui demander si je peux accéder à son PC pour imprimer ma carte
d’embarquement : il serait temps que je le fasse, mon vol est le
surlendemain !
En fait, elle me
propose même mieux que ça : elle va réveiller sa fille ( la pauvre ! )
pour qu’elle apporte son PC portable pour qu’on fasse ça dans la salle
des petit-déjeuners :-)
Ca me gêne, bien sûr,
mais la demoiselle est aussi gentille et serviable que sa mère, et en
deux temps trois mouvements ma carte est imprimée, et en couleurs, en
plus !!
Pour une fois, quand je sors, le ciel n’est pas complètement bleu, mais quand même largement ensoleillé.
Je vais au Kerry Bog Museum tout proche :
Heureusement, ils viennent d’arriver, et ils sont pour l’instant en train de consommer au pub juste à côté.
Je me précipite donc au folk park dans l’espoir de les éviter au maximum, au moins pour le début de la visite.
En
fait, j’y arriverai assez facilement, mais pour une triste raison : ce
« musée » est une mascarade, il y a 5 ou 6 maisons qui se battent en
duel, avec dedans des mannequins ridicules, aucune vie, aucune
animation :-( Un piège à touristes, qui m’a eue :-/ et dont je fais le
tour rapidement.
Je
m’étais douté, à la lecture de la courte description du GdR , que ça
n’était pas un grand musée par la taille, mais je pensais quand même y
trouver une « âme », et au moins des odeurs de feu de tourbe ( bog veut
dire tourbière, en anglais ). Je n’ai rien ressenti ( ni senti : aucun
feu dans les cheminées ), et malgré les meubles et les outils qui
« décoraient » ( dans le sens péjoratif du terme ! ) les habitations, ça
m’a paru vide.
J’ai
donc fait le tour en 15 mn chrono ( ! ), c’est vous dire si je ne
recommande pas du tout cette visite, qui en plus coûte cher : 6,50€ !
Seule
micro avantage de la rapidité de la visite, ça m’a permis de faire mes
quelques photos avant que la masse des américains ne s’engouffrent
partout ! Et je ne me retarde pas dans mon RB ;-)
Allez, on oublie ce piège et on repart vers de nouvelles aventures plus authentiques !
J’ai
décidé de traverser « l’intérieur » du Ring of Kerry, du Lough Caragh au Molls
Gap, via le Ballaghbeama Gap. Ah, j’avais oublié de vous remettre la
carte, pour que vous suiviez mon RB ! La voici :
C’est joli et très campagnard, mais pas transcendant ( ou bien c’est mon mauvais plan du matin qui me rend critique ? ;-) )
Au Moll’s Gap, pause à la jolie boutique-café Avoca où je prends un expresso avec une dose de chantilly divine, bien ferme et très peu sucrée comme je les aime. Tellement bon que j’ai redemandé un extra à la serveuse…qui ne me l’a pas facturé, sympa :-)
Le
temps est plus brumeux que les jours précédents, ce qui fait que mon
APN n’apprécie pas à sa juste valeur la fameuse « Ladies View », mais
mes yeux s’en régalent sans problème !
L’anecdote de l’origine du nom de ce point de vue est d’ailleurs bien résumée dans ce lien :
« Le nom remonte à l'époque de la visite de la reine Victoria à Muckross House en 1861. Sur le chemin qui la mène à la propriété, la reine est si charmée par la vue qu'elle demande qu'on arrête l'attelage et autorise, fait tout à fait exceptionnel à l'époque, ses dames de compagnie, les « ladies-in-waiting », à descendre pour admirer avec elle le spectacle qu'offre le panorama. L'endroit est ainsi baptisé « Ladies View » en souvenir de cet épisode »
Là
encore, j’ai de la chance : je prends mon temps pour apprécier la vue
en solitaire et en revenant à la voiture, je vois un car déverser sa
cargaison de tamalous, ouf !
Bon,
vous trouvez peut-être que je me moque un peu trop des touristes, mais
rassurez-vous : j’ai totalement conscience d’en être une aussi, et aussi
« grégaire » qu’eux quand je me retrouve à visiter des pays lointains
en voyage organisé, et ça m’est souvent arrivé! Je peux donc me
permettre de critiquer, car j’accepte aussi de faire partie « du
troupeau » quand c’est nécessaire, et je l’assume ;-)
Mais
je peux vous garantir que je ne visiterai JAMAIS ma belle Irlande en
troupeau, ça, c’est une certitude ! Ca serait trop douloureux ;-)
je
me dis que je crois bien ne l’avoir jamais visité ! Donc
comme les jardins sont en accès libre, je vais aller y faire un petit
tour, pas trop longtemps parce que ça n’était pas prévu dans mon RB,
pour lequel je suis déjà bien en retard.
J’essaie de faire un tour pas trop grand, je suis contente d’y arriver, hélas, en retournant à la voiture, je passe devant l’entrée…d’un musée à ciel ouvert, « Muckross Traditional Farms » qui m’attire, semblant me dire « viens, viens, tu verras, je suis bien mieux que le Kerry Bog Museum ! »
www.muckross-house.ie/traditional-farms.html
Et comme j’aime
bien ce genre d’endroits ( quand ils sont bien faits ! ), je me laisse
tenter et y rentre, pour 7,50€ quand même!
Arghll, encore un piège…mais pas dans le même genre que celui de ce matin ! Ce folk park est très intéressant, mais les fermes sont bien éloignées les unes des autres ( je mets déjà 10 mn pour arriver à la première, dans une côte…ca va bien ruiner ma moyenne ;-)
Malgré le long accès, dès la première ferme, je suis conquise : de vrais animaux, de vraies personnes à l’intérieur pour expliquer la vie dans les fermes « au temps jadis » et, surtout, cette odeur qui étreint mon cœur d’une façon incompréhensible à chaque fois : celle du feu de tourbe, inimitable !
Je crois que je ne saurai jamais quel étrange envoûtement m’a fait tomber en amour de l’Irlande, qui se traduit entre autre par cet état émotionnel intense dans lequel j’entre quand je respire cette odeur de feu de tourbe…
Bien sûr, l’Irlande est un pays superbe, bien sûr, il abrite les gens les plus chaleureux au monde, mais quand même, au-delà de toutes ces évidences, il y a « quelque chose » de plus, d’inexplicable, qui fait que je me sens chez moi ici, moi qui n’ai pas la moindre racine irlandaise. Et qui m’y fait revenir, et revenir, sans jamais me lasser…
Et je crois que nous sommes nombreux à ressentir ça.
Mais au fond, que le mystère subsiste, c’est aussi bien ainsi, gardons la magie, les mystères ne sont pas tous faits pour être dévoilés !
Je continue donc ma visite des différentes fermes dans un état second, entretenu par chaque cheminée allumée :-)
Le jour et la nuit par rapport au piège à touristes de ce matin !
Voilà les photos de ce musée que je vous recommande :
Arghll, encore un piège…mais pas dans le même genre que celui de ce matin ! Ce folk park est très intéressant, mais les fermes sont bien éloignées les unes des autres ( je mets déjà 10 mn pour arriver à la première, dans une côte…ca va bien ruiner ma moyenne ;-)
Malgré le long accès, dès la première ferme, je suis conquise : de vrais animaux, de vraies personnes à l’intérieur pour expliquer la vie dans les fermes « au temps jadis » et, surtout, cette odeur qui étreint mon cœur d’une façon incompréhensible à chaque fois : celle du feu de tourbe, inimitable !
Je crois que je ne saurai jamais quel étrange envoûtement m’a fait tomber en amour de l’Irlande, qui se traduit entre autre par cet état émotionnel intense dans lequel j’entre quand je respire cette odeur de feu de tourbe…
Bien sûr, l’Irlande est un pays superbe, bien sûr, il abrite les gens les plus chaleureux au monde, mais quand même, au-delà de toutes ces évidences, il y a « quelque chose » de plus, d’inexplicable, qui fait que je me sens chez moi ici, moi qui n’ai pas la moindre racine irlandaise. Et qui m’y fait revenir, et revenir, sans jamais me lasser…
Et je crois que nous sommes nombreux à ressentir ça.
Mais au fond, que le mystère subsiste, c’est aussi bien ainsi, gardons la magie, les mystères ne sont pas tous faits pour être dévoilés !
Je continue donc ma visite des différentes fermes dans un état second, entretenu par chaque cheminée allumée :-)
Le jour et la nuit par rapport au piège à touristes de ce matin !
Voilà les photos de ce musée que je vous recommande :
Même la toiture est en briques de tourbe!
Bon, quand même, à la
fin de ce grand circuit, mon côté pragmatique reprend le dessus quand je
vois l’heure ;-) ( 15h, et je suis à quelques kilomètres seulement de
ce qui devait théoriquement être mon point de départ du jour, Kenmare ! )
et je bâcle un peu la visite de l’ancienne école !
Le charme est partiellement rompu…jusqu’au prochain paysage, au prochain mouton… ;-)
Le charme est partiellement rompu…jusqu’au prochain paysage, au prochain mouton… ;-)
je prends à la volée une mauvaise photo de King Puck, le bouc de Killorglin, symbole de la Puck Fair :
Je regrette la
fermeture du photogénique Dan Foley’s Pub, à Annascaul, que je
photographie à chaque fois que je passe devant, depuis 1989 ;-)
Et je ne suis pas la seule, a priori ;-) Je me demande même si ça n’a pas été la couverture d’un GdR, une année… ?
Et un lien plus précisément sur sa fermeture, et celle de nombreux pubs en Irlande :-( :
http://www.villagemagazine.ie/index.php/2011/03/irelands-rural-pub-trade-is-collapsing-march-11-edn/
Je suis maintenant dans
la belle péninsule de Dingle, pleine de douces collines aux prés bien
verts entourés de haies ( pour changer des murets de pierres )
et j’arrive à Dingle,
autre endroit cher à mon cœur grâce au très fidèle dauphin Fungie, que j’ai rencontré dans le port pour la première fois en 1989, c’est vous dire son âge actuel !!
et j’arrive à Dingle,
autre endroit cher à mon cœur grâce au très fidèle dauphin Fungie, que j’ai rencontré dans le port pour la première fois en 1989, c’est vous dire son âge actuel !!
Là, pour les sites internet, il y a du choix :
Je vais au port voir les horaires des bateaux pour aller le revoir. Comme je le craignais, c’est trop tard pour aujourd’hui, mais il y aura un bateau demain matin à 10h15. C’est un peu tard à mon goût par rapport à mon RB, mais il y a des priorités dans la vie, je serai là à 10h demain !
J’attaque la superbe Slea Head Drive, qui fait une boucle au départ de Dingle.
En sortant de Ventry,
mon regard stomacal ( ?! ) est attiré par une belle devanture vert foncé
annonçant « FRUITS DE MER »…en français !
Et là, immédiatement, je me rappelle que Maryse et Marc, qui sont allés en Irlande ce printemps, m’ont conseillé un resto à Ventry : il y a de fortes chances que ce soit celui-là. J’ouvre mon GdR où j’ai noté l’info : restaurant The Skipper, "M&M approved" bingo, c’est bien ça !
Et là, immédiatement, je me rappelle que Maryse et Marc, qui sont allés en Irlande ce printemps, m’ont conseillé un resto à Ventry : il y a de fortes chances que ce soit celui-là. J’ouvre mon GdR où j’ai noté l’info : restaurant The Skipper, "M&M approved" bingo, c’est bien ça !
Bien qu’il soit assez
tôt ( à peine 18h ), comme je n’ai toujours pas trouvé de logement pour
ce soir, je me dis que je pourrais assurer mon dîner maintenant, pour
être tranquille ensuite et n’avoir pas à ressortir après avoir trouvé de
quoi dormir. Pff, toutes les excuses sont bonnes pour faire coller ce
resto à une heure de repas ;-D
En plus, en anglo-saxonnie-celtie, ça n’est pas étonnant de manger à cette heure-là, il y a déjà deux tables de prises dehors !
Je commande une
demi-douzaine d’huîtres et des St Jacques sur un lit de salades variées (
betteraves, concombres, radis… ), accompagnées d’un cidre qui pour une
fois n’est pas du Bullmers ( stonewellcider.com/ )
Les huîtres sont
excellentes, peu salées, comme je les aime, et je n’ai jamais mangé (bu ?) un vinaigre à l’échalote aussi bon de ma vie : le vinaigre est
très doux, pas acide, il se marie parfaitement avec les huîtres, sans
les dénaturer :-)
Le patron passant faire
sa tournée, je lui demande s’il est français ( c’est marqué dans le GdR
et je crois que M&M me l’avaient également signalé ), il confirme,
et je suis bien contente de pouvoir discuter un peu en français, moi qui
suis immergée dans l’anglais depuis plusieurs jours ;-) Je le félicite
pour ses fruits de mer et son vinaigre à l’échalote, et il m’explique
qu’il utilise deux sortes de vinaigres pour arriver à cette douceur… The
french touch, quoi ! ;-)
Entre les deux plats,
j’étudie mon GdR pour voir si j’ai repéré des adresses de logements dans
le coin, et chouette, oui, il y en a une à Coumeenole, très proche de
Slea Head, à 45€ la single. Maintenant,
il faut espérer qu’ils ont de la place pour moi ! Comme le serveur est
bien sympa, j’ose lui demander s’il pourrait téléphoner, et il le fait
bien volontiers :-)
Et oui, il y a de la
place, et en plus, la dame lui dit que c’est 40€, et non 45 comme je
l’avais noté, bon, OK, je réserve quand même ;-))
Impeccable, me voilà bien soulagée d’avoir enfin un logement d’assuré, sans doute celui réservé le plus tardivement du séjour !
Je reprends donc la Slea Head
Drive sous un ciel un peu couvert, qui n’arrive pas à altérer la beauté
des paysages. Je vois quelques « beehives huts » ( ou clochan )
Je me dirige vers Coumeenole ( merci le GPS, car ce village n’est pas noté sur ma carte Michelin ), mais sans l’adresse exacte, qui n’est notée ni sur le GdR ni sur le site (sinon je l’aurais recopiée dans le guide et rentrée dans le GPS). Pour essayer de guetter un éventuel panneau, je trouve un moyen mnémotechnique pour me rappeler du nom barbare euh, non…gaélique du B&B : Feirm Chinn Sléibhe : « ferme de la Chine », car c’est le prochain voyage que j’ai prévu de faire ;-)
Ben hélas, ça ne suffit
pas. Je passe Coumeenole North, puis South ( ou est-ce l’inverse ? )
mais il n’y a que quelques maisons éparpillées…Je continue plusieurs
kilomètres avant de me décider à arrêter une voiture venant en sens
inverse. Un brave monsieur me dit que j’ai été trop loin. Je fais
demi-tour et je me permets de sonner à un autre B&B pour demander :
eux, ils devraient savoir. Encore une dame hyper serviable qui
m’explique bien où c’est : a priori, je suis passée devant sans le voir,
car il est sur la route principale !
Ouf, enfin, j’y
arrive ! En fait, la maison est en contrebas de la route, on la voit à
peine, et le panneau que je guettais ne cite qu’en troisième position
« Feirm Chinn Sléibhe » (que je n’ai donc pas eu le temps de déchiffrer
en roulant), mettant d’abord en avant le nom anglais « Slea Head
Farm »! Si j’avais su, j’aurais eu plus de facilité à me rappeler de ce
nom-là ;-D
En tous cas, j’ai bien
fait de téléphoner : je vois le petit panneau tant redouté quand on fait
de l’itinérant sans réserver : « No vacancies » : j’ai pris la dernière
chambre !
Arf : je vais loger dans le B&B le plus à l'Ouest de l'Europe ;-)
La dame m’accueille ( ai-je besoin de préciser « chaleureusement »?
C’est un pléonasme, en Irlande ;-) ) et me montre ma chambre. Ils en
parlaient dans le GdR, mais je reste quand même scotchée, les yeux
rivées sur la fenêtre : la vue sur Slea Head est juste époustouflante,
même s’il commence à faire moins clair !
Salon de détente :
Salon de détente :
On a beau se dire qu’on voit des beaux paysages toute la journée, et qu’une chambre est surtout faite pour dormir, avoir une telle vue le soir avant de se coucher, et le matin au réveil, est un indéniable plus ! La salle de bain est à côté de la chambre, mais privative.
Mais ce qui est encore
plus exceptionnel ( ça n’arrive qu’une fois par an et je tombe dessus ! )
c’est qu’il y a en ce moment même une tonte de moutons dans la ferme
juste à côté de la maison !! Le genre de truc auquel on espère assister,
quand on vient en Irlande, mais qu’il est difficile de prévoir !
Mais moi, je n’ai pas besoin de prévoir, j’ai Madame Bonnétoile qui veille sur moi :-))))
Pas la peine de vous
dire qu’à peine installée je fonce à la bergerie ( la dame m’a dit que
je pouvais y aller sans problème ) !
Je fais la connaissance
de l’éleveuse de moutons dont j’ai cru comprendre qu’elle était la
fille de la maison, et de ses collègues. Ils sont en pleine tonte et
discutent entre eux en gaélique, mais la nana n’hésite pas à venir
régulièrement vers moi pour répondre à mes questions et m’expliquer son
métier, c’est super gentil de sa part !
Elle accepte
immédiatement que je rentre dans l’enclos des moutons déjà tondus et
largement peinturlurés de bleu, pour bien les reconnaître de loin quand
ils sont lâchés dans la nature. J’ai donc une place de choix pour
prendre des photos et des vidéos de la tonte !
Sauf qu’au bout de quelques photos, ma batterie me lâche et j’ai un grand moment de solitude en me rappelant que j’ai déjà utilisé la première batterie dans la journée ! Arghll ! Au secours, Madame Bonnétoile ! Pas de problème, elle est toujours là : l’éleveuse me rassure en riant ( suite à mon « arghhlll » de désespoir ) : ils en ont encore pour au moins deux heures, j’ai le temps d’aller recharger mes batteries, ouf :-)
Sauf qu’au bout de quelques photos, ma batterie me lâche et j’ai un grand moment de solitude en me rappelant que j’ai déjà utilisé la première batterie dans la journée ! Arghll ! Au secours, Madame Bonnétoile ! Pas de problème, elle est toujours là : l’éleveuse me rassure en riant ( suite à mon « arghhlll » de désespoir ) : ils en ont encore pour au moins deux heures, j’ai le temps d’aller recharger mes batteries, ouf :-)
Au final, je passerai
plus d’une heure là-bas, à admirer la dextérité des bergers-tondeurs,
qui font bien attention aux endroits sensibles quand, à la fin, ils
tondent le bélier, pas très rassuré ;-)
Souvenir de la Slea Head Farm :-)
Les vidéos de la tonte :
https://www.youtube.com/watch?v=-pVYwzHcucY
https://www.youtube.com/watch?v=71L6kXpgjMc
Souvenir de la Slea Head Farm :-)
Les vidéos de la tonte :
https://www.youtube.com/watch?v=-pVYwzHcucY
https://www.youtube.com/watch?v=71L6kXpgjMc
Encore une superbe journée, je m’effondre dans mon lit à 23h passées…
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